Académie de LYON - PNI 2 – juin 1999
Etablissement :
Collège
Papire Masson
Place Jules Ferry
42 260 SAINT GERMAIN LAVAL
Tel : 04 77 65 43 59 Fax
: 04 7 65 46 85
E-mail : 0420060m@ac-lyon.fr
Contact :
Mmes Fourchet et Saudet
SOMMAIRE :
En amont
des parcours.
Quand avons-nous entendu parler des parcours ? Par qui
et comment ?
Au cours du premier trimestre
97.
- Un principal motivé et persuasif : notre principal a provoqué
une réunion des enseignants pour nous informer de ces projets. Il nous les
a présentés comme la manifestation d'une pédagogie innovante et
incontournable ( en accord avec les textes officiels)
Pourquoi avons-nous adhéré à ce projet ?
Les parcours diversifiés nous
sont apparus comme une démarche
intéressante parce qu'étant :
- fondés sur des projets : ils impliquent une durée de travail
assez étendue, devant aboutir à une production finale.
- en rupture avec les cours plus
traditionnels auxquels n'adhèrent pas tous les élèves.
- l'occasion d'enseigner différemment, donc de se
renouveler, d'explorer de nouvelles méthodes.
- l'opportunité de travailler
la transdisciplinarité et la
transversalité : ils permettent l'échange entre collègues de diverses
disciplines, la réflexion sur des méthodes communes. Cet intérêt dépasse le
cadre des parcours.
- Un enseignement moins spécifique : les parcours permettent de faire appel des compétences
plus variées. Le parcours environnnement et vidéo assuré par un professeur
de S.V.T fait intervenir ses connaissances en audiovisuel, en plus de
celles spécifiques à sa matière. ainsi, des liens différents pourront se
créer avec les élèves, et remotiver éventuellement ceux qui sont en rupture
avec les cours.
- L'accession, en tant qu'enseignant, à un espace de liberté : absence du poids des notes, valorisation
du travail de création.
Quelles ont été les réactions des collègues peu
intéressés ?
-Il n'y a pas eu d'opposition déclarée.
- Des réticences : réduction des horaires et sacrifice
des programmes .
Cependant, certains collègues ont regretté la réduction
d'horaire d'enseignement de leur matière ( français, maths, histoire-géo,
anglais: 1/2 h.par semaine ) . Cette réduction ne leur permettrait plus de
terminer leurs programmes.
- Pour éviter
ce type de réaction, il faudrait que les parcours apparaissent comme des
matières à part entiére dans l'emploi du temps des élèves. De plus, Il
convient également de souligner que
les parcours reprennent les compétences générales des programmes.
Quelles décisions ont alors été prises avec le chef
d'établissement ?
-Présentation des projets par les professeurs intéressés, dans un cadre décidé par le principal, en accord avec
les textes officiels : un parcours de 2 h. , géré par 2 professeurs sur un
projet commun, 1 h. par professeur.
Cette présentation se ferait en séance plénière, lors d'une
1/2 journée animée par un formateur.
- 4 parcours
ont été retenus avec sept professeurs présents : parcours vidéo et environnement, parcours journal,
parcours expression, parcours historique.
Restait une inconnue :
l'adhésion du nouveau professeur, nommé à la rentrée (nous comptions sur
notre pouvoir de persuasion !)
-Le choix des professeurs : les projets étaient fondés sur les
intérêts personnels des professeurs, leurs compétences, le matériel mis à
disposition au collège.
- Il est cependant dommage de remarquer que certains
parcours, parfois, n'ont pas été choisis mais imposés pour des raisons
d'emploi du temps alors que les parcours doivent reposer sur la motivation
des enseignants.
Comment avons-nous informé les familles ?
- succintement la première année par un courrier aux
familles le 3ème trimestre.
- de façon plus détaillée la seconde, suite au stage de trois
jours répartis sur l'année 97/98, stage toujours accompagné par le même
formateur.
- contenu de l'information distribuée : il nous a semblé
important :
-de montrer aux parents les liens entre les parcours
et les programmes officiels.
- d'informer les élèves avant les vacances, afin de
leur laisser un temps de réflexion.
- de leur donner quelques éléments pour choisir.
(voir le document joint :
annexe 1).
LE DEROULEMENT
Les PAD ont été mis en place
au collège depuis la rentrée 97/98 et se poursuivent cette année
encore. En 97/98, seules les deux
classes de cinquième étaient concernées, en 98/99, se sont ajoutées aux
cinquièmes les deux classes de 4ème. Les niveaux sont mélangés.
L'organisation
hebdomadaire et semestrielle
:
5 parcours ont donc lieu, 2 heures tous les mardi après midi
de 14 h20 à 16h40.
La récréation, placée entre
les deux heures, permet un échange entre les deux professeurs concernés
dans un parcours.
Les PAD s'étendent sur un semestre, au bout duquel, les groupes d'élèves changent. Cette
organisation est assez satisfaisante puisque assez longue elle permet de
mener à bien les différents projets : journal, spectacles etc... sans
entraîner trop de lassitude. Des parcours s'étendant sur une année entière
seraient trop longs.
De plus cette organisation
semestrielle permet, lors du second groupe, d'apporter des rectifications aux problèmes soulevés par le premier
groupe.
Par exemple, dans le parcours conte, le professeur s'est rendu
compte que les élèves attachaient trop d'importance à la mémorisation du
texte, à la restitution exacte du texte écrit. Il envisage donc de
travailler davantage l'improvisation.
Le choix des parcours
par les élèves :
A la rentrée, les élèves ont été réunis afin de
choisir leurs deux parcours annuels. Ils ne connaissent alors que l'intitulé
des parcours, et leur contenu brièvement défini dans la feuille de
présentation, distribuée à la fin de l'année précédente. Les professeurs
responsables des parcours ne sont pas mentionnés.
Les élèves doivent alors classer les 5 parcours par ordre de
préférence. A la suite du dépouillement, les groupes des parcours sont
constitués. Les élèves sont répartis en priorité en fonction de leurs voeux 1 et 2. Ce choix fait
par les élèves semble important puisque les parcours doivent être fondés
sur leurs centres d'intérêt. Il est donc essentiel de partir de leur
motivation, de leur intérêt.
En réalité ce choix est parfois difficile à
satisfaire, certains parcours étant plus demandés que d'autres. Pour
les élèves qui n'ont obtenu que leur 3ème voeu, on leur assure leur premier
voeux au second semestre.
L'intervention des professeurs :
Tous les parcours, sauf un
cette année, sont pris en charge par deux professeurs.
Ainsi, le parcours journal est assuré pour une heure
par un professeur de technologie qui s'occupe de la saisie des textes et de
la mise en page, une autre heure est assurée par un professeur d'histoire
géographie qui s'occupe de la conception et de la rédaction des articles.
Il faut donc noter que les
professeurs ne restent pas cloisonnés dans les parcours à leur seule
discipline. Ils utilisent plus que leurs compétences disciplinaires.
Le parcours conte est mené par un professeur
d'histoire qui prend en charge un travail sur le conte et assure une partie
des répétitions et par un professeur de français qui s'occupe de
l'expression orale.
Des interventions occasionnelles :
En plus de cette organisation
hebdomadaire, peuvent parfois intervenir d'autres personnes, d'autres
activités.
Ainsi, le parcours Masque et expression a emmené les
élèves assister à une répétition
d'un spectacle théâtrale.
Le parcours conte envisage la venue d'une conteuse professionnelle pour le
second semestre.
La production finale :
Chaque parcours a pour but de réaliser une production à la fin de
chaque semestre : spectacle, journal, courts-métrages, mini-guides.
Cet objectif nous paraît
essentiel et garant du bon fonctionnement du parcours.
Ces productions en 97/98 ont
été présentées devant l'ensemble des
élèves et des professeurs des parcours, lors des deux dernières heures
réservées aux parcours.
L'évaluation des parcours :
La production finale permet,
bien-entendu, d'évaluer les acquis des PAD.
Une autre évaluation a été
réalisée en 97/98 à l'issue du premier semestre : un questionnaire a été posé aux élèves, permettant en partie de
repérer leurs acquis. (Voir annexe 2,3,4,5).
LES REUSSITES
Evolution des relations professeurs-élèves :
Dans le cadre des parcours, les relations élèves-prof
apparaissent comme plus détendues,
elles débouchent pour le professeur, par exemple, sur une plus grande
confiance en lui et en ses élèves.
Ces relations, "autres", rejaillissent sur nos cours
habituels : pour le travail par groupes, par exemple, ou pour la liberté de
mouvement, laissée aux élèves, pour
la prise de parole et la prise d'initiative, tant pour les élèves que pour
les professeurs.
L'évolution des compétences des professeurs :
Le professeur qui se trouve
confronté à des difficultés, doit s'informer
et s'enrichit de ses nouvelles connaissances. Le professeur qui ne sait
plus comment stocker ses nombreuses photos et ses fichiers de plus en plus
gros, découvre l'utilisation des ZIPS et apprend à réorganiser ses disques
durs !
L'élève devient tuteur :
Le professeur peut établir une
relation de proximité avec l'élève, chacun ayant à effectuer une tâche spécifique,
en vue de la production collective. Le professeur joue alors le rôle de
tuteur et à son tour l'élève peut devenir tuteur auprès des autres élèves.
Par exemple, dans le parcours journal,
un élève qui sait importer des photos numériques dans un document aide un
autre élève sans l'intervention du professeur...
Il est ainsi valorisé,
il a une image positive de lui. Il reprend confiance en lui, en
l'enseignement.
L'apprentissage est réalisé en fonction des problèmes
rencontrés :
Chaque problème rencontré en
parcours provoque la recherche des ressources et des savoirs pour trouver
des solutions. Elèves et professeurs se trouvent dans une réelle situation
d'apprentissage et non plus artificielle, comme celle créée dans le cadre
des cours habituels. L'élève apprend à faire en développant une image
positive de lui, en plaçant les
savoirs comme des ressources et non comme des buts en soi.
Par exemple, il devra
comprendre le fonctionnement du dialogue pour écrire son sketch. On peut de
même expliquer la motivation des élèves pour les parcours impliquant une
représentation; en effet, ils se retrouveront dans une situation réelle
devant un public, c'est le cas des parcours conte et expression-masque.
LES DIFFICULTES QUE NOUS AVONS
RENCONTREES
ET LES
SOLUTIONS QUE NOUS AVONS TROUVEES
AU NIVEAU
MATERIEL
Lorsque 2 parcours utilisent
le même matériel informatique, il est difficile de gérer 34 élèves et une
quinzaine de postes !
Il a suffi, l'année suivante d'intervertir les 2 heures
de saisie !
L'utilisation d'un appareil
photo reflex est laborieuse (labo-photo, produits ...)
L'achat d'un appareil de photo numérique a permis aux
élèves de l'utiliser sans difficulté.
Le parcours topoguide,
utilisant de nombreuses images ou dessins scannés et de nombreuses photos a
rencontré des difficultés de transport et stockage des images.
Le professeur a dû développer ses connaissances dans le
nouveau matériel de communication et a fait l'achat de 2 zips, ce qui a
gommé ce problème.
La préparation du matériel
vidéo exige une grande disponibilité .
(réglage du matériel,
chargement des batteries ...)
Les sorties à l'extérieur sont
aléatoires .
(intempéries, disponibilité
des accompagnateurs ...)
1 seule caméra et 1 seul banc
de montage pour 17 élèves !
Un groupe de 14 élèves est suffisant.
AU NIVEAU
RELATIONNEL
La collaboration est parfois
difficile lorsque le parcours est imposé au 2ème collègue.
Les parcours, cette 2ème année n'ont été proposés qu'à
des collègues motivés.
Une certaine réserve existe
pour solliciter un autre collègue : un prof de français pour relire et
corriger des textes du journal, du topoguide.
Il faut oser !
Lorsqu'un parcours est mené
par un seul prof, sa responsabilité est trop importante pour gérer
plusieurs disciplines (manque de recul, espace temps trop long avec les
élèves).
A éviter !
AU NIVEAU
PEDAGOGIQUE
Il est difficile de renouveler
les parcours chaque année, travaillant sur 2 niveaux confondus.
Nous aimerions plus d'informations sur les expériences
réalisées dans les autres collèges.
L'évolution parfois
surprenante d'un parcours nous oblige à gérer l'inconnu.
Il faut rester ouvert, critique, accepter les échecs, apporter
de la souplesse dans le déroulement du parcours.
Certains élèves confondent
Parcours et Club et n'apportent pas toujours le sérieux souhaité.
Certains élèves ne
s'investissent pas dans la totalité des activités du parcours.
Difficulté à gérer le temps,
la production étant incontournable !
Il faut accepter que la production ne soit pas parfaite
!
ZOOM :
LA GESTION DE L'INCONNU DANS LES PARCOURS DIVERSIFIES
Rappel de nos 5 parcours :
- Conte -
Journal -Topo-guide - Expression et masque - Environnement-vidéo
Il nous semble que tous les
PAD mis en oeuvre dans notre établissement ont nécessité la gestion de
l'inconnu ou de l'incertitude. Habitués à travailler dans nos disciplines,
à planifier notre travail à l'avance, il nous a fallu esquisser des pas hors des sentiers battus et
accepter l'imprévu. Avec les PAD, nous avons choisi de travailler
autrement mais la crainte de l'inconnu demeure.
1 Une démarche de découverte :
Dans les parcours tout n'est pas programmé à priori :
Nous découvrons les nouveaux
besoins et les nouveaux obstacles au fur et à mesure. Cette découverte
génère ainsi de l'inquiétude.
Exemple : Les visites du
parcours Topo-guide ont permis de
découvrir de nouveaux sujets. Ni
le professeur ni les élèves ne les avaient envisagés au départ.
Gérer l'inconnu c'est ici saisir toutes les opportunités pour
avancer, progresser. Puisque l'on ne sait pas ce que l'on va découvrir,
nait alors l'inquiétude. Cette démarche permet d'être attentif aux
réactions des élèves, à leur créativité, à leurs intérêts particuliers.
Le travail hors discipline :
Les PAD impliquent également
une démarche de découverte puisque les
professeurs ne restent pas cloisonnés dans leur discipline. Les PAD
amènent la découverte d'autre discipline ou d'autre domaine habituellement
peu exploité. Ce travail permet l'approfondissement et l'exploitation de
nouveaux centres d'intérêt; l'enseignant peut ainsi enrichir ses connaissances.
Cependant, il faut savoir
accepter de transmettre des savoirs
moins complets, moins précis que pendant nos cours traditionnels.
Exemple : Dans le parcours conte, le professeur de français
peut développer le travail oral avec les élèves de façon plus intensive.
D'autre part, le professeur d'histoire-géographie doit utiliser des notions
littéraires précises qu'il ne manie
pas dans sa discipline : conte, légende, mythe ...
De même, dans le parcours expression- masque, le professeur de
technologie doit savoir gérer les idées des élèves et la réalisation de
leur masque.
2 L'analyse des erreurs
Dans les PAD, un second
facteur peut entraîner la gestion de l'inconnu. Des erreurs, des obstacles
qui n'ont pas été envisagés peuvent intervenir. Il faut apprendre à les
accepter, à les analyser pour progresser. L'erreur est alors l'occasion d'un nouvel apprentissage.
Cet apprentissage se remarque
en particulier dans l'évolution qui existe entre les deux semestres des
PAD. L'expérience acquise avec le premier groupe permet d'analyser les
erreurs et d'ajuster le travail.
Exemple : certaines erreurs ou
certains obstacles sont liés au
matériel. Ainsi, dans le parcours topo-guide, le matériel disponible
dans le collège s'est révélé inadapté; le stockage et le transport des
nombreuses photos et des fichiers de plus en plus gros a demandé au
professeur de rechercher des solutions et de s'adapter. Cette prise de
risque au niveau du matériel s'observe essentiellement avec les PAD. En
effet, les professeurs rencontrent ce type de problème car ils osent prendre ce risque à
l'intérieur des PAD seulement. Ce type de problème qui n'est pas résolu
immédiatement entraîne certains retards qu'il faut gérer et accepter.
3 La démarche de projet
Un projet à construire ensemble
La gestion de l'inconnu est
également liée à la démarche de projet que nécessitent les PAD. En effet, à
partir d'une idée de départ, l'ensemble
du projet est à construire avec les élèves. Il faut alors apprendre à
gérer les variations de comportement, de réactions d'un groupe à l'autre.
Exemple : dans le parcours conte, le premier groupe n'ayant pas
trop apprécié le travail écrit proposé, les professeurs ont dû réduire l'importance
de ce travail. Or, le second groupe l'apprécie beaucoup plus. Les réactions des élèves sont donc
différentes d'un groupe à l'autre.
L'évolution du projet
De même, le topo-guide, dans
lequel le professeur envisageait des articles explicatifs, "scientifiques",
est devenu plus poétique et artistique selon les propositions et les désirs
des élèves.
La difficulté pour le
professeur est de trouver un juste milieu entre les propositions des élèves
et ses propres exigences.
Il faut donc accepter que des
élèves refusent nos propositions mais il faut également élever leur
créativité. Ces nouvelles relations professeurs-élèves se trouvent
essentiellement dans les PAD.
4 La prise de risque dans la production
Il faut enfin noter que les
PAD impliquent une prise de risque au niveau de la production tant pour les
professeurs que pour les élèves.
La prise de risque existe pour les élèves puisqu'ils doivent présenter leurs productions aux
autres; elle est surtout présente pour les parcours conte et expression-masques
puisque les élèves se produisent devant un public. Pour les élèves timides
le risque est encore plus important et il est difficile d'évaluer l'effort
demandé à ces élèves.
Les élèves risquent aussi d'être déçus par leurs
productions si elles ne répondent pas
ou peu à leurs idées. Cette déception existe également pour les
professeurs. Ainsi certains peuvent juger les productions des élèves
décevantes par rapport à leurs exigences de départ.
Exemple : En parcours environnement-vidéo, le professeur
est parfois déçu par la production de ses élèves qui ne correspond pas
toujours à l'idée qu'il s'en était faite ou à ses ambitions peut-être trop
importantes; ce n'est pas pour autant que ces productions soient
négligeables.
Une production de qualité : Même si la production n'est pas un but en soi, elle
doit respecter certains critères de qualité.
Exemple : Dans le parcours journal le risque est tout aussi
important. Le journal étant publié à une date fixe et distribué en un grand
nombre d'exemplaires, la notion de qualité et les exigences demandées
engendrent stress et inquiétude pour les élèves et les professeurs et ceci
plus particulièrement les dernières semaines du parcours.
La gestion de l'inconnu est
essentielle dans les PAD.
D'une part elle permet pour
l'élève et le professeur une plus
grande liberté que dans les cours traditionnels. Certes, cette liberté
engendre de l'inquiétude pour tous mais cette inquiétude est stimulante et créative.
D'autre part, tout au long du
parcours, se trouve modifiée notre
conception du rôle d'enseignant, du métier. Il est en effet important
de souligner que cette évolution
rejaillit sur nos cours : moins de rigidité dans le travail, la
programmation, plus de confiance dans les élèves.
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